La fin est proche..

 

 

 

 

 La fin du monde et ....Dieu

 

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Sciences

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1° Réponse: Il n'y a aucun avenir pour les morts

2° Réponse: Il y a , pour les morts, un certain avenir.

Un seul avenir: celui de Jésus, le Messie juif ressuscité.

Le Dieu vivant et son Christ: unique source de vie

L'avenir du " Grand Disparu": son Retour

Notre résurrection et notre parousie

Le sort actuel des disparus en "Christ"

Et les autres? Quel est leur sort?

Et les autres? pour eux que fera Jésus, ce Jour là?

"Sauvons notre planète, vite! " ??

Conclusions. Que faire?  

 

  

 

HÉLAS ! JÉRUSALEM !

Malheureuse Jérusalem ! Terre et peuple d'Israël, hélas ! Après notre ovation " Vive Jérusalem ! ", après notre cri d'amour " Oh ! Jérusalem ", faisons nôtre cette plainte qui s'exprime si souvent dans la Bible : " Hélas ! Jérusalem !" Ce sont deux souffrances intimement mêlées : les larmes et la colère, les larmes humaines et la colère divine, le malheur des hommes et l'indignation du Seigneur. Les deux mêlées ! Les larmes ! C'est l'immense souffrance des malheurs d'Israël au long de trois mille ans d'histoire, les tueries, les ghettos et les déportations, le sang et les cris. Larmes de Sion dévastée : ce sont les complaintes des prophètes qui en disent la cruelle histoire. Non seulement " les Lamentations de Jérémie ", non seulement les cris de " Jérémie " lui-même, mais aussi Amos ou Joël, jusqu'à Zacharie et Malachie, sans oublier Esaïe, bien sûr, etc..... Ce sont les souffrances des fils d'Israël. Mais ce sont aussi les larmes du Seigneur d'Israël lui-même. Larmes de reproche d'un amour blessé, mais aussi larmes de souffrance car le Dieu vivant est un coeur qui souffre, puisqu'il aime. Dieu lui aussi, avec son peuple, gémit et soupire : " Hélas".

( Cette communion d'Israël et de son Dieu dans le malheur et dans l'épreuve, vous n'y comprendrez rien et vous n'y participerez pas si, pour vous, le sort de Jérusalem n'est qu'un ensemble de problèmes politiques, économiques, historiques et religieux à traiter et à résoudre grâce aux bonnes volontés humaines. Non ! Il faut la foi pour voir les choses comme Dieu les voit. Et, par la foi en Jésus, on doit et on peut regarder Jérusalem comme Jésus la regarde, avec son amour de fils de Sion et son autorité de Messie. Aussi voulons-nous regarder Jésus pleurer ; et pleurer avec lui :

" Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, Jésus pleura sur elle (et même : sanglota sur elle !). Il disait : Ah ! Si toi aussi (c'est-à-dire comme mes disciples qui m'escortent et m'acclament), si toi aussi tu avais su, en ce jour, recevoir ce qui te donne la paix ! Mais hélas ! Cela est caché à tes yeux ! Oui, pour toi, des jours arrivent où tes ennemis établiront contre toi leurs ouvrages de siège ; ils t'encercleront et te serreront de toutes parts ; ils t'écraseront, toi et tes enfants au milieu de toi ; et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre parce que tu n'as pas reconnu le temps, l'occasion où tu as été visitée."
(Luc, 19 . 41 et ss.)

Le temps de la venue chez toi de l'envoyé de Dieu. Quel malheur ! Hélas, quel malheur ! Cela avait commencé en l'an 587 avant notre ère, par la mise à sac de Jérusalem par l'armée babylonienne, et la déportation à Babylone ...... Cela avait continué par l'occupation grecque, lorsque le roi Antiochus profana le Temple par ses idoles, cette " abomination de la désolation" dont parlent le prophète Daniel, et Jésus .... Mais surtout, en l'an 70 de notre ère, c'est le général romain Titus, avec ses légions, qui supprima définitivement le Temple, la " Maison de Dieu " incendiée et livrée désormais aux païens .....

Puis les grecs, puis les arabes, puis les croisés et leurs abominables " guerres saintes " contre les juifs ..... Et enfin ce fut la " Shoah ", la " solution finale " du problème juif entreprise par les puissances démoniaques déchaînées en terre de " chrétienté "! ..... La haine des divinités de la race, de la patrie et de la nation contre le Seigneur d'Israël, contre le Roi des juifs ! ! Hélas !

(Jésus, regardant Jérusalem, pleurait sur sa ville. Et aujourd'hui, Jésus pleure toujours sur sa ville ! Mais si nous pouvons comprendre un peu ces larmes, nous avons, par contre, beaucoup plus de mal à admettre que Jésus parle aussi de " colère ", c'est-à-dire de la " colère de Dieu ", de son indignation qui le conduit à cesser de protéger son propre peuple et de lui épargner les conséquences de son péché. Et pourtant Jésus explique le malheur de Jérusalem par ces mots: " la colère contre ce peuple ":

Quand vous verrez Jérusalem encerclée par des armées" , précisait Jésus lorsqu'il annonçait la fin du Temple, " vous saurez à ce moment-là qu'elle sera bientôt détruite ... Car ce sont des jours de jugement où se réalisera tout ce que déclarent les Écritures .... Il y aura en effet une grande détresse dans ce pays et la colère contre ce peuple. Ils seront tués par l'épée, ils seront emmenés prisonniers parmi toutes les nations, et les païens (c'est-à-dire les étrangers, les non-juifs, les " goïm " ) piétineront Jérusalem jusqu'à ce que leur temps soit achevé."
( Luc 21 . 20-24)

"Ainsi fut fait, le temps d'une génération, à la fin du premier siècle et au début du second : il ne resta du Temple que l'emplacement, de Jérusalem que des ruines, d'Israël que des rescapés en exil. Mais l'épreuve la plus profonde fut alors ce silence du Seigneur qui ne fit rien pour épargner cela à son peuple, rien pour empêcher les forces de mort d'accomplir leur besogne cruelle ! " Colère " de Dieu au sens biblique de ce mot " colère ", c'est-à-dire ce retrait de Dieu qui détourne son visage de sa cité bien-aimée et qui s'éloigne d'elle lorsque sa trahison est devenue sans remède. Cette trahison de Jérusalem, les prophètes la désignent par les mots de " prostitution " et " d'adultère ", c'est-à-dire l'alliance d'amour avec les dieux des païens : la force, l'argent, le pouvoir, les armes, la raison d'état. Quand la cité de Dieu a la même mentalité et la même conduite que les nations de la terre, alors c'est l'heure de la " colère " qui s'annonce ...

Alors Jésus pleure sur la cité bien-aimée, chaque fois, aujourd'hui comme au premier siècle, chaque fois qu'il voit les chefs des nations se liguer aux chefs d'Israël pour piétiner la sainte alliance du Seigneur, donc pour sonner le glas du bonheur et de la paix d'Israël. Jésus pleure : " Hélas ! Jérusalem ! Si tu savais !....

(Qu'en conclure pour nous " chrétiens "? Nous, l'église des pagano-chrétiens, nous sommes ces païens qui sont devenus enfants adoptifs de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Nous sommes donc devenus les enfants adoptifs de Jérusalem. Sion est notre mère. Comme dit l'apôtre Paul, nous avons reçu le droit de cité en Israël et nous sommes concitoyens de tous les juifs qui croient au Messie Jésus. Jérusalem est notre mère, notre mère qui nous est confiée. (Jean 19. 26-27 & psaume 87 . 5-7)C'est pourquoi, nous tous chrétiens qui sommes issus de toutes les nations du monde, cessons de faire souffrir les juifs, cessons de mépriser Israël comme si nous, " l'Église ", nous avions pris sa place dans l'amitié de Dieu et dans son alliance !

Bien mieux encore : pour rejoindre Jésus et sa prophétie sur Jérusalem, peut-être aujourd'hui devrions-nous nous interroger et nous demander ceci : de quelle manière les nations actuelles piétinent-elles Jérusalem ? Qui, aujourd'hui, foule aux pieds la cité sainte ? Et si c'étaient les armes et les bottes de nos diverses nations qui continuent aujourd'hui de piétiner Jérusalem ? Les intérêts politiques et financiers de tous les peuples, occidentaux ou non, arabes ou non, juifs ou non, avec l'appui des " Pouvoirs " d'Israël lui-même ?! Le Messie d'Israël, lui, ne fait pas pleurer Sion ! N'a-t-il pas donné sa vie pour elle, sur la croix ?

( Et n'est-il pas son Roi qui vient, qui arrive pour elle ? Pourquoi ce Sauveur universel vient-il d'abord pour Jérusalem et le pays d'Israël ? Et pourquoi ne posera-t-il pas ses pieds sur un autre point de la terre ? Parce qu'il est fidèle à son peuple élu, à sa terre, à sa capitale, aux promesses faites aux pères, aux lieux de sa passion et de sa victoire, à ce point minuscule de l'immense terre des hommes, à cette " tête de pont" d'où IHVH est parti pour étendre son règne à toute la création.

 DEBOUT ! JÉRUSALEM !

Nous venons de crier " Hélas ! " ; nous venons de gémir sur le malheur de Jérusalem et sur le poids de cette lourde " colère " qui continue de peser sur elle aujourd'hui. Mais maintenant, prophétiquement, nous allons crier de joie et bondir d'allégresse car, selon le psaume 30 :

" C'est pour un moment qu'on est sous la colère du Seigneur mais c'est pour toute une vie qu'on est dans sa grâce. Le soir, ce sont les larmes mais, au matin, la joie explose ! " Donc,

" Crie de joie, tressaille d'allégresse, fille de Sion, pousse des exclamations, fille de Jérusalem: voici que ton Roi arrive, il est juste et victorieux, il est humble ..... il brisera l'arc de guerre et il proclamera la paix pour les peuples ! " (Zacharie 9 . 9)

Oui, vous tous fils d'Israël et toi, population de Jérusalem, criez de joie, chantez et dansez car le jour de gloire arrive pour vous. Non pas le jour de vos performances, non pas le moment de votre victoire militaire ou de votre miracle économique, mais l'heure de la grâce de votre Roi se faisant enfin connaître tel qu'il est. Le temps du grand Pardon, inattendu et immérité. Pourquoi donc crier de joie dés maintenant ? Mais, bien sûr, parce que ton Roi arrive, oh Jérusalem ! Il arrive dans la gloire de Dieu, votre Père et notre Père. Il arrive pour vous, et il arrive aussi en faveur des arabes et de tous les " païens " du monde, les vivants et les morts. Criez donc de joie ! C'est Lui, le Messie si humble, qui arrive ! Debout ! Jérusalem "!

" Debout, Jérusalem ! Lève-toi, sois consolée! Sois éclairée, sois radieuse! Tressaille d'allégresse, crie de joie, danse de joie, Jérusalem ! "
( Esaïe 60)

Parce que, maintenant, c'est le jour de ton Dieu qui arrive. Alléluia !

MERCI ! JÉRUSALEM !

Maintenant, j'ai envie d'employer encore une autre interjection et de dire : " Merci, fils d'Israël ! Merci, Jérusalem ! Oui, merci pour ta faute elle-même, ton faux pas, ta dureté de coeur à l'égard de ton véritable Messie ; merci pour ton aveuglement lui-même ! Car au moment où arrivait chez toi le train merveilleux chargé de bénédictions, de salut et de vie éternelle pour toi et pour le monde entier, tu l'as laissé passer et tu as voulu rester sur le quai de la gare ! Étrange paradoxe : c'est à cause de ton refus et de ton appauvrissement que moi, païen du 21 ème siècle, j'ai pu être rejoint et atteint et enrichi par ce train de notre incroyable trésor, le Royaume de ton Sauveur et Roi, Jésus le Messie.

Bienheureuse ta faute, Jérusalem, qui nous vaut un tel Sauveur, à nous les nations. Merci !" ( C'est ce qu'explique le rabbin Saul de Tarse, devenu l'apôtre Paul, dans sa lettre aux Romains (11 . 11) :

" Grâce à leur faute (la faute des juifs fermés à l'évangile ), les païens ont accédé au salut pour exciter la jalousie d'Israël.

Or, si leur faute s'est soldée par l'enrichissement du monde entier, si leur appauvrissement a produit la richesse des païens, que ne fera donc pas leur plénitude (leur retour définitif à la plénitude de leur héritage promis) ?!..

Ö En effet, si leur mise à l'écart a donné lieu à la réconciliation mondiale des hommes avec leur Dieu, que va être, oui que va être leur réintégration, leur propre réhabilitation, leur retour à leur propre place dans le royaume de leur Dieu ?! Oui, qu'est-ce que ça va être ?!"

Nous avons longuement réfléchi à cela dans les deux précédents cahiers. Mais réalisez-vous, oui vraiment, réalisez-vous ce que va être pour notre terre et pour le monde ce retour d'Israël dans la communion de son Sauveur ? Non pas hors de l'Histoire mais au dénouement de notre histoire humaine. " Qu'est-ce cela va être ? " s'extasie Paul le prophète de Jésus. Or à cette question l'apôtre donne lui-même la réponse, reçue de Jésus son Maître :

 " Que sera-ce, sinon la Vie du milieu des morts ? " (Romains 11 . 15)

Comprenons bien le sens de ces mots : " la Vie du milieu des mort ". Réellement et concrètement, ce sera le surgissement hors du séjour des morts de tous les fils de Dieu, tout comme le Fils de Dieu est sorti, autrefois, de son tombeau. Le cri " Debout, les morts ! " ne fera qu'un avec le cri " Debout, Jérusalem ! "Ton Sauveur arrive, regarde-le ! Il apporte avec Lui la Vie éternelle qui engloutit la mort et qui vide le séjour des morts ! "

 " Car c'est de Sion que vient le Libérateur, c'est de Jérusalem que sort le Sauveur du monde."
(Romains 11 . 26)

Fini le temps de tes angoisses, Sion ! Et, sur toute la terre, fini le règne du péché, de la souffrance et de la mort !

Ah, Père, si c'est possible, que ce soit " l'an prochain à Jérusalem", l'an prochain notre entrée dans la Jérusalem nouvelle et divine !

Veuille hâter, Seigneur, ton Jour de gloire !

Georges SIGUIER . 14 rue Saint Jacques 81200 MAZAMET

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