La Vitesse de la Lumière Approches chretiennes relation entre la science et la
religion pasteur réformé
Le Coran propose une parabole qui ne manque
pas de surprendre. Ainsi, il est écrit que : "Les Anges ainsi que
l'Esprit montent vers Lui en un jour dont la durée
est de cinquante mille
ans". (Coran 70 /4). Le Livre Sacré a voulu mettre
l'accent sur une relation de fait établie entre la
vitesse de déplacement des créatures
célestes (ici symbolisées par les anges et
l'Esprit franchissant une échelle de mesure
cosmique) et celle que tes êtres humains
étaient susceptibles de parcourir sur terre. Rappelons que ces révélations
étaient destinées à des hommes,
vivant il y a quatorze siècles. Avant de passer
à la définition des vecteurs mis en cause,
nous devons faire le point sur le rapport chiffré
reliant les deux ordres de grandeur. Nous constatonss que
le Coran introduit un terme d'égalité entre
le trajet que pourrait accomplir un terrien en 50 000 ans
et celui effectué par une créature
céleste en un jour. Nous ne possédons pas
de précisions suffisantes pour savoir si les
années en cause sont des années solaires ou
lunaires. Aussi, nous étudierons les deux
possibilités. En prenant comme référence
l'année solaire, on constate que le rapport admis
par le Coran peut être de : 365,25 x 50 000 = 18
262 500 Cela signifie qu'un mobile cosmique va 18 262 500
fois plus vite que le moyen de locomotion le plus rapide
utilisé sur terre à l'époque.
L'année lunaire implique par contre que le rapport
pourrait être de : 354,36 X 50 000 = 17 718 000 En
arrondissant la moyenne des deux hypothèses, on
arrive à un rapport de : 18 262 500 + 17 718 000
/2 = 17 991 750 fois, arrondi à 18 000 000 Par
conséquent les créatures citées sont
en mesure de se déplacer 18 millions de fois plus
rapidement que n'aurait pu le faire un terrien du
7ème siècle. Il s'agit maintenant de
chercher les moyens terrestres les plus utilisés
afin de déterminer la vitesse du mobile cosmique.
Les informations que nous avons réunies sont
celles-ci : L'homme : En marche normale, un homme
à pied parcourt 4 à 5 kilo- mètres
à l'heure. Au pas de course, et selon les
distances, sa vitesse pouvait être de 15-20 ou
même 30 kilomètres à l'heure. Le
chameau : C'est un animal de grande endurance, mais peu
rapide. Il était en mesure de se déplacer
à 5/10 kilomètres à l'heure et
pouvait pousser des pointes de 25
kilomètres/heure(l Quid. Robert Laffont). Les autres moyens de locomotion connus
à l'époque comprenaient également,
en dehors des animaux de trait, les chars tirés
par les chevaux, qui n'atteignaient pas, vu l'état
des routes, de grandes vitesses, ou encore les
embarcations marines tributaires de la force des vents.
Il reste le cas des coursiers, et plus
particulièrement, s'agissant de la région
moyen-orientale, des coursiers arabes, animaux
très prisés, fins et intelligents. Ils
étaient utilisés dans les
déplacements rapides, car parfaitement
adaptés à la course et à l'effort.
Leur vitesse pouvait atteindre 60 kilomètres
à l'heure, et on ne connaissait aucun autre moyen
de locomotion aussi rapide. La description coranique visait sans aucun
doute possible ces animaux qui portaient
allègrement leur charge humaine à une
allure défiant touteconcurrence. Si nous
appliquons le rapport cité ci-dessus qui est de
1/18000 000, à la vitesse la plus rapide atteinte
par un être humain, nous arrivons à une
vitesse cosmique de l'ordre de : 60 x 18 000 000 = 1 080
000 000 kilomètres à l'heure. Il s'agit à ne pas en douter d'une
vitesse extraordinaire, et il ne semble pas qu'il puisse
exister quelque chose en mesure de se déplacer
aussi rapidement. Malgré tout et parce qu'elle est
horaire, cette vitesse n'est pas très
significative. Aussi est-il nécessaire de la
ramener au niveau de la seconde. Et là, c'est sans
surprise aucune, pour ceux qui sont convaincus de
l'origine divine du Coran, que nous arrivons au chiffre
de : 1 080 000 000/3600 = 300 000 kilomètres
à la seconde, soit exactement la vitesse de la
lumière. Le rapport 1/18000000
révélé par le Livre Sacré,
n'est rien d'autre que celui de la vitesse de la
lumière. Bien entendu, le Coran n'étant ni
un traité de physique ni un ouvrage de
mathématiques, il n'y a pas lieu d'exiger une
précision absolue au niveau de
l'énoncé du problème. Tout le
raisonnement consiste à fournir les indications
qui démontrent sans l'ombre d'un doute, que ces
connaissances émanent d'un Etre Supérieur,
infiniment plus savant que toute l'humanité. Il
faut rappeler à ce sujet qu'à
l'époque du Prophète (), les savants
pensaient que la lumière se transmettait
instantanément. Ces croyances sont restées vivaces
jusqu'au 19 ème siècle, et la vitesse de la
lumière ne fut déterminée avec
précision qu'en 1929 seulement, avec l'ordre de
grandeur divulgué par le Livre Sacré qui
est de 300 000 kilomètres à la seconde (1Un
point de vue indentique a été
développé par Belhaï Abdelkaderdans le
quotidien algérien " El Moudjahid "). (exactement
299 792,458 kilomètres à la seconde). Il reste que le Coran n'emploie pas
spécifiquement le mot "lumière",
correspondant aux ondes électromagnétiques.
Mais il faut savoir que les anges dont il est question
symbolisent eux-mêmes la lumière pour les
Musulmans. Le mot "Nour" (lumière) s'applique
typiquement pour définir leur substance. En tout
état de cause, il ne peut exister aucune autre
signification dans les rapports de vitesse
démesurés qui lient les deux mobiles,
lesquels sontproposés à la réflexion
des gens. Une proportion de 1 à 5 ou 1
à 10, ou encore 1 à 100 ou 1 à 1
000, aurait pu donner lieu à des explications
multiples et variées. Un ratio de1 à 18 000
000, ne signifie rien d'autre que l'interprétation
qui a été exposée plus haut,
à savoir une relation directe entre le mobile le
plus rapide en usage à l'époque et la
vitesse de la lumière. De plus, les limites de
tolérance prises en compte dans les calculs, ont
toujours été extrêmement
réduites, confirmant la crédibilité
de notre démonstration. Tous ces arguments font que notre
planète pèse vraiment peu face à
ununivers dont l'unité de base s'est
trouvée multipliée des milliards de fois.
La vitesse de la lumière prise comme étalon
de mesure du cosmos, démontre, d'une part,
l'immensité de l'univers, et, d'autre part, le
bien fondé de la thèsecoranique qui a
été a l'origine de ce système
d'évaluation. Elle implique aussi que l'être humain
est vraiment insignifiant face à l'extraordinaire
complexité de la création et ce,
conformément au Texte Sacré des
Musulmans. Allah est plus savant. .
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