Approches chretiennes relation entre la science et la
religion pasteur réformé
011-revolution
de la pensée humaine Au nom d'Allah, le Tout
Miséricordieux, le Très
Miséricordieux La Fin de
l'Univers "On ne comprend les prédictions que
lorsqu'elles sont réalisées". Voilà
une pensée de Pascal qui ne risque pas de
s'appliquer au présent article, car à la
fin de l'univers, il n'y aura plus personne pour
vérifier son bien-fondé. Nonobstant cela,
nous essaierons de déterminer à travers les
citationscoraniques, sous quelles formes l'univers
entrera dans sa gigantesque agonieavant de
connaître lui aussi, la mort
inéluctable. Auparavant, nous allons examiner les
positions exprimées par les spécialistes et
qui relèvent, avouons-le, de la haute
spéculation. Elles sont au nombre de quatre : Première hypothèse
: Cette version rassemble la majorité
des suffrages. Elle prédit que l'univers
connaîtra une mort lente et froide par
évanescence dans l'espace. Voici lesdonnées
: A l'origine, l'univers est né d'un atome
primitif extrêmement dense.Juste après le
big bang, la chaleur s'élevait à plusieurs
milliers de milliards de degrés. A l'heure
actuelle, quelque vingt milliards d'années plus
tard, la températuredu milieu est descendue
à moins 270 degrés centigrades, soit
très proche du zéro absolu. Parallèlement, l'univers a
occupé un volume plus grand, tel que son rayon
peut être estimé lui aussi à vingt
milliards d'années-lumière. Mais cela
n'empêche pas les étoiles et autres corps
planétaires de continuer à se former par
contraction et effondrement de nuages cosmiques. Ce
phénomène se poursuivra sans doute encore
durant des milliards et des milliards d'années.
Jusqu'à ce que ta matière se disperse dans
un espace trop grand et qu'il devienne impossible de
l'agréger pour constituer des corps
stellaires. Toujours d'après les
spécialistes, la densité actuelle de
l'univers (30 grammes de matière par milliard de
milliards de kilomètres cubes d'espace) est
tropfaible pour s'opposer à une expansion sans
fin. Ils affirment que selon la théorie de la
Relativité, la densité devrait être
auminimum de 2 000 grammes, pour amener un jour l'univers
à se contractersous l'effet de sa propre
gravité. La différence de 1 970 grammes par
cube deun million de kilomètres de
côté est connue sous le nom de masse
manquanteou masse cachée. Le grand écart
existant entre la quantité de matière
détectée (étoiles, quasars, trous
noirs, matière interstellaire etc.) et celle qui
aurait été nécessaire pour amener
une contraction de l'univers, a encouragé les
astrophysiciens àconcevoir un modèle
d'expansion perpétuelle. Le schéma est relativement simple,
à condition que les lois physiques que nous
connaissons y soient applicables. Dans ce cas, l'univers
continuera à augmenter de volume en se
refroidissant. Les étoiles qui n'existent que par
la fusion thermonucléaire de l'hydrogène en
arriveront à utiliser en l'absence de ce dernier
qui aura été épuisé,
successivement l'hélium, puis le carbone et ainsi
de suite en synthétisant des noyaux de plus en
plus lourds.Lorsqu'elles auront épuisé leur
énergie, elles s'éteindront en passant
(souvent) par des stades catastrophiques et chaotiques.
Dans cent mille milliards d'années, toutes les
étoiles s'éteindront, laissant un ciel
obscur et noir. Selon Freeman J. Dyson, astrophysicien de
Princeton (USA), après un millionde milliards
d'années, les planètes qui n'auront pas
été arrachées parl'attraction des
étoiles de passage, seront attirées par
leurs propres étoiles respectives et s'y
écraseront a leurs surfaces. Des millions de
milliardsd'années plus tard, ce sera au tour des
galaxies de se disloquer. On pense que les trous noirs aspireront
aussi bien la poussière cosmique que les
planètes ou les étoiles qui passeront
à proximité dans leur récession.
Pendant tout ce temps, l'univers ne cessera
d'accroître son volume et de serefroidir, au point
que les éléments existants encore, risquent
de ne plus se rencontrer. La température descendra
à moins mille milliards de degrés
centigrades.Pour arriver à une dispersion presque
totale de l'univers dans le vide, il faudrait compter un
temps de 1 suivi de, mille zéros,
représentant le nombre d'années, qui
à cette échelle n'a plus aucune
signification. Deuxième hypothèse
: Dans cette version, les spécialistes
fondent leur conviction sur le fait que les observations
récentes ont permis de prouver l'existence
d'immenses nuages cosmiques qui n'avaient pas
été pris en compte par les tenants de
l'expansion perpétuelle, et qui sont susceptibles
d'augmenter sensiblement la densité apparente de
l'univers. De plus, l'importance des trous noirs et
quasars n'aurait pas été estimée
correctement. Mais le facteur le plus important sur
lequel reposent les espoirs des "contractionnistes'' ou
partisans d'un univers fermé porte sur l'existence
éventuelle d'une masse chez les neutrinos.
Jusqu'à une date récente, ces particules ne
possédaient ni masse, ni charge électrique
selon les physiciens. Or, aujourd'hui différentes
expériences ont permis de soupçonner
l'existence d'une masse, qui même infime (10 000
foisplus faible que celle de l'électron) pourrait
valider l'opinion des partisans de la contraction de
l'univers. C'est qu'en effet, le nombre extrêmement
élevé de neutrinos -chaquecentimètre
carré de la terre est traversé en
permanence par environ 10milliards de neutrinos par
seconde- pourrait combler la masse manquante. Si cette hypothèse venait à
être vérifiée, le mouvement
centrifuge de l'universs'inversera alors un jour, pour
donner naissance à une phase centripète. A
l'expansion, succédera la contraction qui fera en
sens inverse le chemin parcouru depuis le big bang.
L'univers se contractera au fur et à mesure que sa
densité et sa température augmenteront et
que les distances s'amenuiseront. Les galaxies se
confondront, les étoiles tomberont les unes sur
les autres et se fracasseront, la fournaise atteindra des
milliards de degrés. La rotation infernale se poursuivra en
s'accélérant impitoyablement dans un
état de densité et de chaleur
extrêmes, jusqu'à reformer l'atome initial
qui a donné naissance à l'univers. La
contraction effacera à jamais toute trace de la
création précédente. Aucun souvenir
ni aucune empreinte de quoi que ce soit, de l'atome
à la galaxie, en passant par la vie, ne gardera
son identité. Tout sera confondu au sein de cette
boule primitive qui reviendra après des milliers
de milliardsd'années, à son origine
première. Après avoir donné
naissance à l'univers, l'atome implacable se
reformera avec sa propre matière et sa propre
énergie. Troisième hypothèse
: Les partisans de cette variante sont
convaincus qu'après le stade de l'expansion,
l'univers connaîtra une phase de contraction qui le
ramènera à son origine première sous
forme d'atome primitif. Puis une fois reformé,
l'atome se désintégrera à nouveau
entraînant un autre cycle : rayonnement-dispersion
de la matière-création
stellaire-arrêt
del'expansion-contraction-reconstitution de l'atome
primitif.Le tout dans un processus sans fin de
création et de destruction. Quatrième hypothèse
: Elaborée en 1948 par les
astrophysiciens) Fred Hoyle, T. Gold et H. Bondi,cette
théorie postule que l'univers est éternel
et stationnaire.Pour compenser le vide créé
par la fuite des galaxies et maintenir la
densitérequise, ils auraient imaginé une
création continue de nouveaux atomes
d'hydrogène. Il suffirait que se forment deux
atomes par mètre cube et parmilliard
d'années pour équilibrer les pertes
entraînées par la dilution de
lamatière cosmique. Cependant, lorsqu'il devint évident
que l'univers était né de la
désintégration de l'atome primitif et qu'Il
poursuivait son expansion, la théorie stationnaire
s'effondra. Ses auteurs y renoncèrent d'ailleurs
d'eux-mêmes. Ce sont là les principales
hypothèses avancées par les
spécialistes pourexpliquer la fin de l'univers.
Nous les résumons ci-dessous : 1.- L'univers verra son volume
s'accroître indéfiniment entraînant
l'évanescence de la matière et, une mort
par le froid. 2.- L'univers subira une contraction qui le
ramènera sousforme d'atome primitif, après
agrégation de la matière
etélévation énorme de densité
et de température. 3. - L'univers connaîtra des phases
cycliques d'expansion et de contraction pour reconstituer
l'atome initial, qui de nouveau donnera naissance à un autre
univers, et cela dans une suite sans fin. 4. - L'univers est incréé et
ne connaîtra pas de fin. Il a toujours
existé et existera toujours. Il est
éternel. .
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