vers la Lumière ......

La fin est proche..!

 

 

 

 

 

 

 

 

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06 - paleontologie

07- Formation de l'univers

08-  Origine de la vie 

 09-Formation de l'homme

011-revolution de la pensée humaine

 012-Formation de la terre

013- Jaeger, étude

014 Molhen étude.


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PETIT TRAITÉ DU COMMENCEMENT DE TOUTES CHOSES

DIEU COMME COMMENCEMENT? Hans Kung

ÉPILOGUE

La fin de toutes choses (pages 241 à 249)

 

Comme le prophète Joèl déjà (2,10), le Nouveau Testament rapporte que lors du drame ultime le soleil s’obscurcira et la lune perdra son éclat, les étoiles tomberont du ciel et les puissances des cieux seront ébranlées (Matthieu 24,29). A la lumière des théories physiques de la fin, on pourrait penser que ce sont là des visions fantastiques exactes. Néanmoins, face à de tels courts-circuits théologiques par rapport à la fin du monde, les avertissements sont aussi nécessaires que pour ceux qui sont faits à propos de son commencement! Là aussi, la théologie doit remettre au point des choses qui ont suscité des préjugés compréhensibles chez des scientifiques.

Des hypothèses physiques à propos de la fin

Comme il est naturel, des astrophysiciens spéculent aussi sur la fin: dans cinq milliards d’années environ, la galaxie Andromède heurtera de plein fouet notre Voie lactée et des milliards d’étoiles seront précipitées à travers l’univers. Simultanément, le Soleil évoluera pour devenir une « géante rouge». Ensuite toute vie sur Terre s’éteindra. Tout cela est-il vraiment sûr? Une grande partie de ce qu’on nous apprend ici sur les «trois dernières minutes» relève de la spéculation. En ce sens, le physicien américain Paul Davies a donné à son ouvrage, qui synthétise bien la recherche en futurologie, le sous-titre, conforme à son contenu: « Suppositions sur la destinée finale de l’univers »

En majorité, les cosmologistes partent aujourd’hui de l’idée que notre monde est tout sauf stable, inaltérable ou même éternel. C’est «un monde entre un commencement et une fin» (Harald Fritzsch) 268• Cependant, on débat sur la question qui se pose à nouveaux frais depuis la découverte, en avril 1992, des plus anciennes structures (fluctuations) de l’univers: l’expansion de ce dernier qui a commencé avec l’explosion initiale va-t-elle s’arrêter et s ‘inverser pour aller vers une nouvelle contraction, ou va-t-elle continuer durablement?

La première hypothèse part d’un univers «en pulsion» ou «en oscillation » — une hypothèse, cependant, qui, nous l’avons vu, n’a pu d’aucune façon être vérifiée jusqu’à présent: un jour l’expansion va se ralentir, elle ira vers l’extinction et se retournera en contraction, de telle sorte que, dans un processus s’étendant sur des milliards d’années, il se ramassera sur lui-même; les galaxies avec leurs étoiles finiront par se désagréger de plus en plus vite jusqu’ au point — on parle d’ au moins 80 milliards d’ années après l’explosion initiale — où il se pourrait qu’ à travers la réduction des atomes et des noyaux atomiques en leurs éléments on en arrive à une nouvelle grande explosion, au big crunch, à l’explosion finale. De là pourrait ensuite naître à travers une nouvelle explosion un nouveau monde. « Pourrait», car un tel univers « en oscillation » entre des phases d’expansion et de contraction n’est rien d’autre qu’une pure spéculation. Il faut en effet une « foi » puissante pour admettre, hors de toute base empirique, qu’ à un tel big crunch succédera un nouveau big bang qui fera surgir un nouveau monde avec des lois naturelles radicalement différentes.

La seconde hypothèse a probablement derrière elle la majorité des astrophysiciens actuels: l’expansion de l’univers, très plat selon des mesures récentes de chercheurs français, continuera sans être freinée et sans se renverser en contraction. Et même, l’univers, accéléré peut-être par une « énergie sombre » (des fluctuations du vide?) répartie dans sa totalité, connaît une expansion de plus en plus rapide. Là aussi, les étoiles passent par des évolutions: quand leur réserve d’énergie est consommée, les étoiles lourdes sont soumises à des explosions de supernovae (avec parfois une intensité lumineuse un milliard de fois supérieure à celle du Soleil); le coeur de la masse s’effondre ensuite dans le centre de l’étoile et il se forme une étoile de neutrons. Avec de petites étoiles comme le Soleil se constitue à terme une « naine blanche», peut-être aussi grosse que notre Terre; grâce à la pression des électrons pour empêcher une collision due à la force gravitationnelle, cette « naine blanche » est stabilisée. A partir de la matière transformée au coeur de l’étoile et expulsée par elle se forment de nouvelles étoiles et générations d’étoiles, où se produiront de nouveaux processus au sein des noyaux, qui feront que la matière se consume pour devenir finalement « cendre d’étoiles » (composée de fer et de nickel). Lentement, le froid s’étendra dans le cosmos — la mort, le silence, la nuit absolue. Mais, bien longtemps auparavant, le Soleil aura enflé au point de devenir une « géante rouge » et d’absorber la Terre, avant de s’éteindre lui aussi après avoir consommé la totalité de son hydrogène.

Sommes-nous là encore devant de pures spéculations? D’aucune manière, car l’expansion sans cesse continuée de l’univers est observable, et les stades successifs de l’évolution des étoiles ont été vérifiés avec une étonnante précision. Mais doit-on se faire peur avec quelque chose qui se réalisera — si cela se réalise — seulement dans cinq milliards d’années, quand la réserve d’hydrogène au coeur du Soleil se sera épuisée?

Des visions apocalyptiques de la fin

Le problème oppressant, menaçant, pour la plupart de nos contemporains n’est pas d’abord la fin de notre univers, dont les générations bibliques ne soupçonnaient guère l’extension spatio-temporelle prodigieuse. Le problème est beaucoup plus la fin du monde pour nous:

la fin de notre Terre, plus exactement la fin de l’humanité, la fin du monde comme fin de l’humanité —faite par l’homme.

Beaucoup de « chrétiens renés » citent, pour attiser la peur ( Allusion aux born again fondamentalistes américains, « re-nés» après leur conversion.) devant les catastrophes, les guerres et les famines, les tremblements de terre, les tsunamis et d’autres catastrophes naturelles, la vision terrible, effrayante, qu’on trouve dans le Nouveau Testament: «Vous entendrez parler de guerres, et ce qu’ on en rapportera vous mettra dans l’angoisse. Attention, ne vous laissez pas effrayer! Cela doit arriver. Mais ce n’est pas encore la fin. On se lèvera en effet peuple contre peuple et royaume contre royaume. Et il y aura des famines et des séismes en beaucoup d’endroits. Mais tout cela est seulement le commencement des douleurs. [...J Aussitôt après les jours de grande affliction le soleil s’obscurcira et la lune ne brillera plus; les étoiles tomberont du ciel et les puissances des cieux seront ébranlées ! » (Matthieu 24,6-8.29.)

Mais nul besoin aujourd’hui de lire des histoires de fin du monde, de Poe à Diirrenmatt, pour savoir que nous sommes, de mémoire d’hommes, la première génération capable, en libérant l’énergie atomique, de mettre une fin à l’humanité! Les «petites» bombes lâchées sur Hiroshima et Nagasaki et l’accident du réacteur de Tchernobyl ont montré à tous les hommes ce que signifierait une guerre nucléaire à grande échelle: la Terre deviendrait invivable. Mais, comme la fin de la guerre froide a plutôt éloigné aujourd’hui le péril d’une guerre nucléaire d’envergure, plus d’hommes encore craignent de « petites » guerres nucléaires entre peuples fanatisés par le nationalisme, ou des guerres déclenchées par des groupes terroristes. Ils ont peur, encore plus et avant tout, des dommages portés à l’environnement qui pourraient eux aussi détruire notre Terre: changements climatiques, surpopulation, catastrophes dues aux déchets, trou d’ozone, air pollué, sols empoisonnés, eaux contaminées par les matières chimiques, rareté de l’eau... Même Martin Rees, l’astronome et cosmologiste britannique plus ou moins favorable à la théorie des plurimondes (voir supra, II), se livre dans son récent livre, Notre dernier siècle?, à de sombres pronostics, à des scénarios catastrophes et à la critique de la science .

Des visions apocalyptiques peuvent certainement devenir réalité si l’humanité ne se décide pas à prendre des mesures énergiques de défense et de réforme en tous domaines —. de la protection du climat à la régulation des naissances. Mais aux États-Unis, la puissance dominante à l’Ouest, un retournement éco-social n’est pas encore d’actualité 27O Au contraire, les attentats criminels de musulmans fanatiques du 11 septembre 2001 ont mené à un boom sans précédent d’une littérature chrétienne sur la «fin des temps». La foi moderne dans le progrès, répandue au xlxe siècle dans les romans futuristes de Jules Verne sur la technique, s’est renversée en un scepticisme et un pessimisme postmodemes. L’histoire et l’invention, l’apocalypse et l’ésotérisme, le chrétien et le pseudochrétien se mêlent ici. Le roman en onze tomes intitulé Left Behind, publié par une petite maison d’édition luthérienne, s’est vendu à des millions d’exemplaires: il montre comment les « méchants » sont rejetés et «laissés pour compte » lors du retour du Christ. Plus célèbre encore est Armageddon, bande dessinée devenue film, où des chrétiens triomphent lors de la bataille finale contre les forces du Mal; comme il va de soi, les Américains y sont identifiés avec les « bons » et en profitent pour légitimer en même temps leur politique militariste actuelle ainsi que leurs guerres préventives pour sauvegarder le pétrole avec leur hégémonie. Déjà le président Reagan, ne distinguant pas toujours nettement entre réalité virtuelle et réalité réelle et prévoyant une star war, croyait à l’instar des Témoins de Jéhovah en «Armageddon», qui est, selon le livre de l’Apocalypse (16,16), l’endroit mythique où les esprits démoniaques réunissent «les rois de la terre entière» pour la grande bataille finale d’où sortira l’anéantissement du système en place.

Ce qui est grave, c’est que de nombreuses personnes considèrent que des romans palpitants comme le Da Vinci Code de Dan Brown sur la « dernière Cène » ou le « saint Graal » sont des oeuvres historiques. Un président américain intelligent comme Biil Clinton a même pris pour argent comptant un roman (fondé sur une riche documentation obtenue avec l’appui de milieux néoconservateurs du Pentagone) sur la menace d’attaque biologique pesant sur les Etats-Unis, et il a donné à des militaires des instructions à ce propos 271rn Tous ces gens férus d’apocalypse, suivis par des foules immenses de chrétiens conservateurs, auraient unbesoin urgent de lumières sur ce que signifient vraiment les passages apocalyptiques de la Bible.

Le sens des visions bibliques

Celui qui, avec les récits du Nouveau Testament sur la tragédie de la fin, l’obscurcissement de la terre et de la lune, la chute des étoiles et l’ébranlement des puissances des cieux... se croirait placé devant des prédictions exactes sur la fin du monde, ou du moins de notre Terre, celui qui les considérerait comme une sorte de «dé-voilement» chronologique (apo-kalupsis en grec) ou comme des informations sur les «choses dernières» à la fin du monde, celui-là n’aurait rien compris à ces textes.

De même que les récits bibliques sur l’oeuvre créatrice de Dieu ont emprunté au monde environnant de l’époque, de même ceux de l’oeuvre finale de Dieu se servent de l’« apocalyptique 1887; de leur temps, c’est-à-dire d’un courant, contemporain de cette époque, marqué par les attentes de la fin des temps au moment où l’on passe de l’ère juive à l’ère chrétienne. Les visions terribles de l’Apocalypse sont un avertissement pathétique à l’humanité et aux individus pour qu’ils reconnaissent la gravité de la situation. Mais, de même que la « protologie » (le récit des débuts) biblique ne saurait être un reportage sur des événements survenus au commencement, de même l’eschatologie (le récit de la fin) biblique n’est absolument pas une prédiction des événements de la fin. C’est pourquoi la Bible n’emploie pas non plus dans ce contexte le langage scientifique des faits, mais un langage imagé rempli de métaphores. Une fois encore, il faut redire ce qui suit à propos du langage biblique:

— les images ne doivent pas être prises au sens littéral, faute de quoi la foi tombe dans la superstition;

— mais les images ne sont pas non plus à rejeter uniquement parce que ce sont des images, sinon la raison tombe dans le rationalisme;

— on n’a pas le droit d’éliminer les images ou de les réduire à des concepts abstraits, il faut plutôt les comprendre correctement:

elles ont leur raison propre, elles présentent la réalité selon leur logique propre, elles veulent ouvrir à la dimension profonde, au contexte de sens de la réalité. Il importe donc de traduire de manière neuve pour notre temps la chose qu’elles désirent faire connaître, en la tirant de son contexte d’interprétation et de représentation

Toutes ces annonces bibliques ne peuvent donc pas être pour nous un scénario de la tragédie de l’humanité en son dernier acte. Car elles ne renferment aucune «révélation» divine spéciale qui pourrait satisfaire notre curiosité par rapport à la fin. Nous n’apprenons précisément pas — avec une exactitude infaillible, pour ainsi dire — ce qui va nous arriver dans le détail et comment les choses vont ensuite se passer concrètement. Comme les « choses premières », les « choses dernières » ne sont pas accessibles à une expérience directe. Pour le « temps de l’origine » comme pour le «temps de la fin», il n’y a pas de témoins humains. Et, de même qu’il ne nous est pas donné d’extrapolation scientifique univoque, il n’ y a pas de prédiction prophétique exacte de l’avenir définitif de l’humanité, de la terre et du cosmos. Même l’image biblique de la grande tenue du jugement public de toute l’humanité, donc des milliards et des milliards d’humains, n’est qu’une image.

 Mais quel est alors le sens de ces images et de ces récits poétiques du commencement et de la fin? Ils sont là pour ce qui n’est pas accessible à l’étude par la raison, pour dire ce qu’on espère et ce qu’on craint. Dans les énoncés bibliques sur la fin du monde, il est question d’un témoignage de la foi en faveur de l’achèvement de l’oeuvre de Dieu dans sa Création. Même à la fin de l’histoire du monde et de l’homme il y a... Dieu! Aussi la théologie n’a-telle aucune raison de favoriser l’un ou l’autre modèle scientifique du monde, mais plutôt de faire comprendre aux hommes que Dieu est l’origine et l’achèvement du monde et de l’homme. Une fois encore, tout homme est en effet placé devant une option, une décision de la foi. Selon le message de la Bible, l’histoire du monde et la vie de l’homme s’acheminent vers cette fin ultime de toutes les fins que nous appelons Dieu, il est justement le Dieu qui accomplit. Et même si l’homme ne peut démontrer ce Dieu, pas plus qu’il ne peut démontrer le Dieu créateur, il peut néanmoins 1’ affirmer pour de bonnes raisons: avec cette confiance aussi raisonnable, aussi éprouvée, aussi éclairée que celle avec laquelle il a déjà affirmé l’existence de Dieu. Car, si le Dieu qui existe est vraiment Dieu, alors il n’est pas seulement Dieu pour moi ici et maintenant, il est aussi Dieu à la fin. S’il est Alpha, alors il est aussi Oméga: Dieu, comme il est dit dans la liturgie, d’éternité en éternité.

Mourir pour entrer dans la lumière

En ce qui me concerne personnellement, j’ ai accepté le « pari» de Pascal et je parie — non pas en raison d’un calcul des probabilités ou d’une logique mathématique, mais bien plutôt sur la base d’une confiance raisonnable — sur Dieu et l’Infini contre le zéro et le rien. Je ne crois pas aux arrangements légendaires tardifs concernant le message de la résurrection dans le Nouveau Testament, mais je crois volontiers à leur noyau primitif: ce Jésus de Nazareth était mort non pas pour entrer dans le néant, mais pour entrer dans le sein de Dieu 273• Dans la confiance en ce message, j ‘espère donc en tant que chrétien, cormne d’autres hommes dans d’autres religions, en une mort qui n’ ira pas dans un néant — une chose qui m’apparaît extrêmement irrationnelle et dénuée de sens. J’espère bien plutôt en une mort pour rejoindre la Réalité absolument première et ultime, dans le sein de Dieu — une Réalité qui, par-delà le temps et l’espace, dans la Réalité cachée de l’Infini, transcende toute raison et toute représentation humaines. Quel enfant ferait déjà confiance, sans connaissance spéciale, au cocon d’une chenille censé devenir l’existence lumineuse, libre, délivrée des liens avec la terre, d’un papillon? Le risque demeure dans ce pari pour une confiance absolue, j’en suis naturellement bien conscient; pourtant, j’en suis convaincu: même si je perdais ce pari à ma mort, je n’aurais rien perdu pour ma vie; au contraire, j’aurais en toutes circonstances vécu mieux, plus joyeusement avec plus de sens que si je n’avais eu aucune espérance.

C’est cela, mon espérance éclairée, fondée: mourir, c’est prendre congé pour aller vers le dedans, c’est l’entrée et le retour dans le Fond et l’Origine du monde, notre patrie véritable; un départ peut-être non dépourvu de souffrance et de peur — c’est selon pour chacun —, mais, espérons-le malgré tout, avec l’esprit apaisé et dans l’abandon, en tout cas sans plaintes ni désespoir, plutôt dans une attente qui espère, une certitude sereine et (après avoir réglé tout ce qui est à régler) une gratitude, à laquelle se mêle de la confusion, pour tout le bien et aussi le moins bien, qui est désormais et enfin et définitivement derrière nous — grâce à Dieu274!

Je pourrai alors comprendre la totalité inconcevable de la Réalité: Dieu comme l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin de toutes choses. Et donc un mourir pour entrer dans la Lumière.

J’ai commencé ce livre avec la parole sur la Lumière qui ouvre la première page du livre de la Genèse dans la Bible.

Je souhaite achever ce livre par la parole sur la Lumière qui se trouve à la dernière page de l’Apocalypse de saint Jean:

«Et il n’y aura plus de nuit, et ils n’ont plus besoin de la lumière d’une lampe ni de la lumière du soleil. Car le Seigneur Dieu fera briller sa Lumière sur eux, et ils régneront d’éternité en éternité» (Apocalypse 22,5).

Hans KUNG

Extrait du «  Petit Traité du commencement de toutes choses »  éditions du Seuil Janvier 2008

Traduit de l’allemand par Jean-Louis SCHLEGEL

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