les noces de l'Agneau ..

La fin est proche..

 

 

 

 

 La fin du monde et ....Dieu

 

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  Accueil-avenir-des-morts

1° Réponse: Il n'y a aucun avenir pour les morts

2° Réponse: Il y a , pour les morts, un certain avenir.

Un seul avenir: celui de Jésus, le Messie juif ressuscité.

Le Dieu vivant et son Christ: unique source de vie

L'avenir du " Grand Disparu": son Retour

Notre résurrection et notre parousie

Le sort actuel des disparus en "Christ"

Et les autres? Quel est leur sort?

Et les autres? pour eux que fera Jésus, ce Jour là?

"Sauvons notre planète, vite! " ??

Conclusions. Que faire?


Approches chretiennes

Benoit XVI

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Sciences

 

 

PROLONGATIONS ARBITRAIRES ?

La longue patience de Dieu, à travers l'histoire, consiste-t-elle en une suite irrationnelle de prolongations improvisées, sans motif, au hasard, de sorte qu'il serait téméraire et impie de chercher à comprendre les temps et les plans du Père ?

Non, Dieu a son plan, son programme et ses méthodes, et l'Esprit Saint nous pousse à les connaître, pour "entrer" dans la façon divine de penser le temps. L'apôtre Pierre écrivait :

" Sur le salut ont porté les recherches et les investigations des prophètes ...
Ils recherchaient à quel temps et à quelles circonstances se rapportaient les indications données par l'Esprit du Christ qui était présent en eux ..."
(1 Pierre 1 . 10-12)

 Ainsi le Père a conçu et mis en oeuvre, dés le temps des pères d'Israël (Abraham, Isaac, Jacob, ...) son projet et son programme de "bénir toutes les familles de la terre" par le moyen de ce "serviteur de l'Éternel", ce petit peuple des hébreux. Ensuite, c'est par l'envoi de son "Fils", ce "Fils de l'Homme" résumant et concentrant en sa personne toute la vocation et toute la fidélité d'Israël, que le Père a "accompli" son plan de salut.

Non pas hors du temps, mais dans notre temps ; non pas dans un temps "cyclique" d'un éternel retour des choses, mais dans le temps "linéaire", ce temps réel de l'Histoire de notre monde qui a eu un commencement et qui aura une fin. Et comme le temps de cette Fin ("les derniers temps " ou " la dernière heure" ) a commencé par la résurrection et l'élévation au pouvoir divin de ce Fils de l'Homme crucifié, de même la fin de cette "Fin du monde" va se produire par la soudaine interruption du "siècle présent" grâce au "retour du Christ".

Et cette "Arrivée dans la gloire du Père" sera le "Jour de Dieu", c'est-à-dire l'ultime Venue de Dieu lui-même pour sauver ce monde en le changeant en "Royaume".

POURQUOI TANT DE TEMPS ?

Bien sûr, c'est à l'échelle de notre planète et de la longue histoire humaine que Dieu prend son temps et le domine. Ce n'est pas à l'échelle d'une existence individuelle ! Et, pour lui, "mille ans sont comme un jour".

Il n'en est pas moins vrai que bien des erreurs "théologiques" doivent être évitées. Il est faux , par exemple, de dire que "Dieu est hors du temps" ou que "pour Dieu il n'y a pas de temps". En réalité, le "Seigneur des cieux et de la terre" est à la fois dans tous les temps et au-dessus de et au-delà de tous les temps ! Tout comme il est à la fois et en même temps "au-dessus de tous les cieux" et ici, là, "dans le secret de ma chambre". Tout comme, au grand Jour historique de l'Avènement du Christ, son action divine sera créatrice d'un ordre des choses "biologiquement" nouveau. Donc, attention, même le concept d'éternité (notion philosophique plus que catégorie biblique !) nous joue de mauvais tours si nous la comprenons comme le contraire du temps, un "non-temps" mythique !

En fait le Père (et pas seulement le Fils) est entré dans notre temps historique en faisant alliance avec les hommes et en y déroulant historiquement la réalisation de sa promesse de salut mondial. Que manque-t-il donc encore, après vingt siècles d'attente, pour que l'ultime accomplissement (la "Parousie" du Fils et la résurrection des fils de Dieu) rende effective, définitive et universelle la victoire déjà remportée en l'an 30 à Jérusalem ?

La réponse me paraît entièrement contenue dans la prophétie de Jésus à ce sujet :

"Il faut d'abord que l'évangile (la bonne nouvelle du Royaume) soit annoncé à toutes les nations, dans le monde entier. Alors viendra la fin."
(Marc 13 . 10, Matthieu 24. 14)

La "nécessité" de cette " mondialisation-là est la raison de cette longue Patience.

Or, n'est-elle pas achevée, cette mondialisation ?

LE TEMPS DES NATIONS

Cette expression est employée par l'évangéliste Luc dans cette phrase importante sur laquelle nous nous sommes arrêtés longuement :

"Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations jusqu'à ce que le temps des nations soit accompli."
(Luc 21 . 24)

Le mot grec traduit ici par "nattions" signifie : les habitants de la terre qui ne sont pas juifs, les multiples ethnies qui ne font pas partie du peuple d'Israël, les non-juifs (quelles que soient par ailleurs les croyances de ces individus et de ces peuples).

Les diverses traductions de ce mot ("gentils", "nations", "païens") posent des problèmes et provoquent des malentendus. Surtout le mot "païen" qui garde un sens populaire "d'incroyant "!

Mais que veut dire l'expression "le temps des nations " ? Propre à l'évangéliste Luc qui a le sens de l'Histoire et insiste sur ces "derniers temps" inaugurés par la Pâque du Messie crucifié et glorifié, cette expression a les significations suivantes :

Le "temps des nations" est le temps de la patience de Dieu à l'égard des multitudes humaines qui peuplent notre monde : le Père retarde le jugement de cette terre et de ses habitants et prolonge l'histoire pleine de ses bénédictions.

C'est donc la période historique durant laquelle le Seigneur de l'Histoire tolère et supporte que les Pouvoirs politico-militaires des étrangers foulent aux pieds sa cité sainte, Jérusalem.

Mais "le temps des nations" est surtout le temps de "l'évangélisation" du monde en vue du salut de tout être humain :

"On proclamera en mon nom le retour à Dieu et le pardon des péchés à toutes les nations, commencer par Jérusalem"
(Luc 24 . 47)

Et lorsque ce témoignage aux nations sera à son terme (en notre génération !), alors c'est "tout Israël" que Jésus sauvera.

LA MISÉRICORDE ANNONCÉE

Où Dieu veut-il en venir, finalement ?

Si, là-dessus, on interroge l'évangile, la réponse qu'on en reçoit est claire : "l'arrière-pensée" de Dieu et la finalité de toute l'Histoire qu'il conduit se résument dans son désir de faire miséricorde à tous. La raison dí'être de sa "colère" et de ses sanctions est, pour finir et au bout du compte, de sauver tous les hommes :

"Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la Vérité." (1 Timothée 2 . 4)
"Dieu a enfermé tous les hommes dans la désobéissance afin de faire miséricorde à tous." (Romains 11 . 32)

Pourquoi? Parce que Dieu EST AMOUR" (1 Jean 4 . 8). C'est parce que, dans son être même, il est tout amour et que le but final de toutes ses actions (ses "jugements") est d'en arriver à "faire miséricorde", gratuitement et sans y être obligé. Sa miséricorde, c'est son pardon en actes : le don de Jésus pour tous.

Telle a été la miséricorde de Dieu dans la première venue de son Fils (il est mort et ressuscité pour tous), telle va être la miséricorde de Dieu dans la seconde et ultime venue de son Fils (pour les juifs d'abord, pour les non-juifs ensuite).

Et n'opposons pas l'amour de Dieu (qui sauverait " automatiquement " !) à la sainteté de Dieu (qui en damnerait nécessairement certains !) ! Car "la sainteté du Père" (= il est unique en son genre, tout autre) c'est qu'il est amour.

Et cet amour a la "colère" comme l'une de ses composantes. Le sens biblique de ce mot "colère " est : la punition ou la destruction du mal. La " colère " contre Sion et Israël, annoncée par Jésus, arrive à son terme ... après près de vingt siècles. La "colère "contre ce monde va culminer en disparition du "vieux" monde englouti dans le Royaume arrivant.

LE SOI-DISANT "JUGEMENT DERNIER "

J'ai déjà employé cette formule polémique et provocatrice pour dénoncer la subversion du "christianisme" en "religion" (= voie du salut) par l'intrusion séculaire d'une notion d'un "jugement dernier" qui est profondément "païenne".

Expliquons-nous brièvement : au coeur de la plupart des religions, archaïques ou toujours actuelles, il y a cette croyance à un "au-delà " de la vie personnelle, au-delà bon (paradis) ou mauvais (enfer). Accompagnant cette croyance, il y a, en général, un autre croyance : celle d'un dieu-juge qui statuera sur le sort définitif de chaque individu, quant à cet au-delà, en fonction de la conduite ou des oeuvres pratiquées la vie durant. Souvent associée à ces croyances, il y a la notion d'une immortalité de "l'âme" humaine, âme qu'un "jugement dernier" (divin et sans appel) doit "peser" aux balances de la Justice Suprême. Depuis le "Livre des MortsÝ"de l'ancienne Égypte jusqu'aux oeuvres d'art qui ornent nos cathédrales, ces croyances sont là .

Et elles ont droit de cité dans les théologies et les pratiques des églises chrétiennes !

Leur nocivité spirituelle, à l'intérieur de la foi chrétienne, a ceci de grave et de dramatique : elles transforment le "Père des miséricordes" en un terrible Juge qui " attend chacun au tournant" pour "lui régler son compte", et cela "pour l'éternité " !

Bien plus ! En transférant sur Jésus lui-même, au "dernier jour", ce rôle et cette figure du Roi redoutable, elles empêchent d'attendre avec allégresse l'Arrivée finale du Sauveur et poussent à prier : "Seigneur, reviens le plus tard possible ".

Or, ce n'est pas pour "juger" les vivants et les morts qu'il vient. Il vient pour "régner "sur eux, et pour SAUVER !

ET MATTHIEU 25 ?

" Oui, cet important passage (25 . 31-46) de l'évangile, qu'en fais-tu ?

La traduction oecuménique (T.O.B.) a-t-elle tort de donner comme titre à ce texte : "le jugement dernier " ?

Et ont-ils tort, les P. Osty et Trinquet, de renchérir en intitulant : les assises du jugement dernier ?

Oserai-je répondre que oui, que mes frères biblistes, là, ne sont pas bien inspirés ? Je l'ose, et voici pourquoi :

Cette saisissante description prophétique de ce que va faire le Fils de l'Homme à son "retour" ne parle pas des décisions dernières de Dieu lui-même. Elle annonce l'oeuvre dont est chargé le Fils, tout comme le font les deux paraboles qui précèdent, celle des "dix vierges" et celle des "talents".

Le contexte (ch. 23, 24 & 25) traite de la Parousie et de l'Avènement de Jésus rassemblant sa Jérusalem nouvelle. Donc il ne faut pas sortir de ce contexte pour placer dans les mains du Messie juif, à son Retour, les balances d'un "Jugement dernier" où, à la façon des dieux des nations, le sort des âmes de toute l'humanité serait réglé et tranché par des verdicts divins définitifs. Ici, il s'agit non du "Jugement dernier", mais d'un "Jugement avant-dernier", préparatoire au "dernier mot" que le Père se réserve de prononcer lui-même. Il s'agit là du regroupement de " l'Israël de Dieu" .

Le Christ, en effet, ne se substitue pas à son Père et son Dieu. Il ne prend pas sa place. Au contraire, il va remettre et offrir au Père, après l'avoir triée et épurée, l'immense assemblée des "fils du Royaume", " l'Israël nouveau" né de son sacrifice sur la croix, cette "Jérusalem d'en haut " où sont unis, dans le salut, des juifs et des non-juifs ressuscités. Triage de "l'Église", non du "monde". L'apôtre Paul annonce la même chose quand il écrit :

" Le Christ remettra le Royaume à Dieu le Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité, toute puissance."
(1 Corinthiens 15 . 23-24)

L'expression "toutes les nations" indique que, dans son "Église universelle" qu'en "Roi-Messie" il aura à trier dés sa Parousie, il trouvera des gens de toutes les ethnies de la terre. Pas seulement des fils d'Israël. Peut-être même serait-il bon de traduire: "il y en aura de tous les peuples de la terre dans ce rassemblement " ?

Le triage sera donc fait entre "vrais" et "faux" chrétiens : à droite ses authentiques fidèles (ayant manifesté leur amour du Maître en aimant ses "petits frères" dans le besoin), à gauche les "chrétiens de nom", n'étant ses disciples qu'en apparence. Salut par la foi (réelle !) et non par mérites ! Fin du mélange ! Fin et abolition du " multitudinisme" ecclésiastique " ! Mais que le lecteur se fasse lui-même sa propre opinion en relisant ce passage, transcrit ci-dessous (trad. T.O.B.) :

"Quand le Fils de l'Homme viendra dans sa gloire, accompagné de tous les anges, alors il siégera sur son trône de gloire. Devant lui seront rassemblées toutes les nations et il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres. Il placera les brebis à sa droite et les chèvres à sa gauche.

Alors le Roi dira à ceux qui sont à sa droite: "Venez, les bénis de mon Père, recevez en partage le Royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde. Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger et vous m'avez recueilli ; nu et vous m'avez vêtu ; malade et vous m'avez visité "; en prison et vous êtes venus à moi."

Alors les Justes lui répondront : "Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé et de te nourrir, assoiffé et de te donner à boire ? Quand nous est-il arrivé de te voir étranger et de te recueillir, nu et de te vêtir ? Quand nous est-il arrivé de te voir malade ou en prison, et de venir à toi?"

Et le Roi leur répondra : "En vérité je vous le déclare, chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits, qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait !

Alors il dira à ceux qui sont à sa gauche : "Allez-vous en loin de moi, maudits, au feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j'ai eu faim et vous ne m'avez pas donné à manger ; j'ai eu soif et vous ne m'avez pas donné à boire ; j'étais un étranger et vous ne m'avez pas recueilli ; nu et vous ne m'avez pas vêtu ; malade et en prison et vous ne m'avez pas visité "

Alors eux aussi répondront: "Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé ou assoiffé, étranger ou nu, malade ou en prison, sans venir t'assister ?

Alors il leur répondra : ´ En vérité je vous le déclare, chaque fois que vous ne l'avez pas fait à l'un de ces plus petits, à moi non plus vous ne l'avez pas fait."

Et ils s'en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes à la vie éternelle."

(Ev. de Matthieu 25 . 31-46)

J'ai bien conscience que l'interprétation que je propose de cette prophétie (anticipatrice et exhortative) se heurte à un avis contraire de la majorité des "biblistes". Je la garde provisoirement : elle me paraît en harmonie avec le soin que Jésus, même après sa résurrection, met à laisser au Père la liberté et l'autorité de ramener à lui, s'il le veut, même ces "maudits" mis à gauche ! (cf. Apocalypse 19 & 20)

Bien plus ! En cessant de voir le "Jugement dernier" dans cette scène de tri à l'intérieur du peuple messianique "multitudiniste" et " oecuménique" recruté jusqu'aux extrémités de la terre, on peut mieux considérer et comprendre tous les passages bibliques qui soulignent :

la souveraineté de Dieu et sa souveraine liberté d'être bon.

la "dépendance" du Fils, soumis au Père même lors de sa Parousie. la persistance de sa qualité et de son rôle de Messie juif (non"occidentalisé ") tout au long des "derniers temps" et y compris à Sion et pour Sion lors de son Avènement.

l'unité entre lui et son Israël "au complet" pour réaliser la vocation "sacerdotale" et "médiatrice" entre Dieu et toute l'íhumanité, pour le salut du monde entier.

la participation de tout son corps (ressuscité et "trié") aux ultimes décisions divines pour le salut de tous. (I Corinthiens 6 . 2 et 3)

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